"Quand on prend un oiseau pour écrire, ça s'appelle twitter" ¤ Timea



 
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Sujet "Quand on prend un oiseau pour écrire, ça s'appelle twitter" ¤ Timea
Lun 20 Nov - 21:08



Timea Aubertin
ft. Lili Reinhart


FICHE D'IDENTITÉ
NOM : Aubertin, le nom de la pauvre femme qui a fait de son mieux pour m'élever. Ce nom souillé mainte et mainte fois par qui que ce soit dans le HLM où j'ai vécue mes 20 premières foutues années.
PRÉNOM(S) : Timea,
elle trouvait ça beau, facile à prononcer et pas tendancieux, un vrai nom de blanche quoi. Ça respire la douceur...
ÂGE : 21 foutues années et certainement les plus folles de toutes mais étant ma situation, mes galères ne risques pas de s'arrêter là.
LIEU/DATE DE NAISSANCE : Dans la banlieue de la capitale française dans un vieil hôpital presque insalubre.
ORIGINE ET NATIONALITÉ : Française pure souche, ou peut-être pas, après tout je ne sais pas qui mon père mais quoi qu'il se passe, ma mère est belle est bien française.
ORIENTATION SEXUELLE : Certainement hétérosexuelle, l'endroit où je suis née on est plutôt mal vu d'être autre chose qu'hétéro alors je ne me suis jamais vraiment posée la question.
SITUATION CIVILE : Totalement et irrémédiablement l'âme en peine et solitaire.
STATUT MONÉTAIRE : Complètement fauchée. Y'a rien de plus à dire, je n'ai pas le moindre argent, heureusement que les petits travails existent sinon je serais vingts pieds sous terre.  
LES ÉTUDES
NIVEAU D'ÉTUDE : undergraduate
ANNÉE D'ÉTUDE : 2ème, chaque chose en son temps, rien ne sert de courir il faut partir à point
MATIÈRE DES ÉTUDES: Finance
MAJEURE : Gestion
MINEURE(S): information et communication
BOURSIER : oui
QUELQUES QUESTIONS
SÉRIEUX

FUMER

ALCOOL

SPORT

LECTURE

NATURE

FILMS

MUSIQUE

TÉLÉ

SEX

SOCIABILITÉ

ORDI

Quelques questions afin de mieux cerner ton personnage au sein de l'université.


Pourquoi UQ Et pourquoi pas ? Non enfaîte, ça pas été une réelle décision basée sur une motivation de... ouais bref, je suis venue là pour un mec, autant dire que je n'ai jamais autant bossée de ma vie pour arriver à un truc. Non mais vraiment. Pour moi l'Australie c'était juste une pays très très loin, certainement beaucoup trop désert et rempli de kangourou. Mais voilà, c'est devenu une nécessité d'y aller. Un déclic et tout change. J'ai peut-être pas de réel intention comme tous ses petits génies qui se pavanes dans cette ville mais, j'avais prouvé, enfin je crois, mais j'avais de la détermination.
Quel est ton campus St Lucia, autant dire que mon porte-monnaie ne permet pas quoi que ce soit d'autres. J'avais installé ma grosse valise dans ce bâtiment 1, je crois que c'est comme ça qu'on l'appel. Une petite chambre partagée à plusieurs et avec un goût médiocre concernant la décoration. Encore plus quand tu penses que tout est commun ici, j'avais pas trop l'habitude de partager quoi que ce soit et l'idée de me trimbaler à moitié à poils au milieu d'autres filles ne m'effrayait pas le moins du monde. Concernant les cuisines, valait mieux pas qui j'y mette un pied, un incendie serait vite propagée...
Qu'attends-tu du campus Rencontrer du monde ? Après tout je sais pas, j'étais pas là à la base pour ça. Je ne sais pas non plus si quelqu'un va m'apprécier, je sais être invivable parfois. Je connais pas du tout la vie universitaire dans ce genre de lieu, à Paris ce n'est pas du tout pareil, on n'est pas les uns sur les autres comme ça.
Quelle a été ta réaction face à ton admission à UQ J'avoue j'ai fais un peu pipi dans ma culotte. Je suis pas du genre fille parfaite qui sait parler devant ce genre d'instance. Moi je suis plutôt le genre qui lève sa jupe ou montre ses seins, ais il paraît qu'ici c'est un motif de renvoie...

prénom / pseudo : Emmy âge: 21yo fuseau horaire : Francia où avez-vous trouvé le forum:  Bazzart votre avis :Alléchant personnage : Inventé fréquence de connexion : Un peu tous les jours une ultime bafouille : kippa surgelée




Dernière édition par Timea Aubertin le Mar 21 Nov - 11:29, édité 1 fois
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Sujet Re: "Quand on prend un oiseau pour écrire, ça s'appelle twitter" ¤ Timea
Lun 20 Nov - 21:09

Bring me the horizon

Histoire compliquée. Famille compliquée. Vie compliquée. Ça se résume à ça. Mère française et père anglais. Rien de plus difficile quand on pense que ma mère a été suivre son amour de jeunesse jusqu’à Londres après une rencontre laborieuse à Paname. C’était beau, fleur bleue et juste une histoire naissante. Ils n’étaient pas faits pour s’entendre, vivre l’un avec l’autre à longueur de journée. Et je suis née. On aurait pu croire que ça les aurait rapprochés mais non, bien au contraire. Ma mère est rentrée en France avec moi et mon père lui promis de l’aider financièrement et qu’il passerait de temps en temps. Quelle belle connerie. Je ne l’ai jamais vu, enfin juste quelques photos que ma mère garde en souvenir dans une boîte qu’elle cache. Je l’ai trouvé cette boîte et il m’arrivais, quand j’étais petite d’aller regarder ce qu’il s’y trouvait. Et puis j’ai grandi. J’ai découvert l’injustice et surtout la haine. Vous savez, les paroles et gestes que vous faites sans réfléchir. Que vous regrettez mais que vous ne direz jamais. A cet âge on a encore de la fierté.


Gamine détestable dans un monde abominable.
Essais de te frayer un chemin dans toute cette merde environnante. Tout est fichu d’avance et pourtant ; on est toujours là. On parle d’espoir, pour certain d’utopie, moi j’vois juste des clandos qui coulent lentement. On vous a déjà dit que la noyade est la mort la plus violente ? Tes poumons s’emplissent petit à petit d’eau. Et tu vois défiler, ta misérable vie. Seul à assister à cette séance maléfique qui n’a très certainement marquée personne.
L’oubli. Voilà à quoi tu es vouée.
Paroles suintantes dans tes oreilles. Arrête de te mentir. Regarde les choses en faces, c’est inévitable : on va tous mourir. La seule chose que tu peux peut-être avoir c’est une belle mort. Alors vas-y mon garçon….


Vous connaissez les requins-tigre ? Je suis comme eux. Si j’arrête d’avancer, je meurs.
Vous vous imaginez, vous à 14 ans, dans la banlieue de Paris ? Petite blonde aux airs innocents ? Elle se fait piétiner et c’est tout.
Subir et encore et encore. Se faire raquetter le seul petit sandwich que ma mère avait réussi à me faire. Croyez-moi à cet âge, je n’étais plus si innocente. Entendre tous les soirs ma mère pleurer en se demandant comment elle allait faire. Vous savez les appartements dans les HLM craignos, les murs n’y sont pas très épais…
La pauvreté. J’ai grandi dedans. Je fais partis de ceux que le système a oubliés. On dit que « le système s’est retourné contre l’homme, perdu dans ses ambitions ». Qu’elles ambitions ? Moi j’veux juste sortir de cette merde. Ne plus entendre ma mère se demander comment elle réussirait à me nourrir demain. Il n’y a plus d’innocence là-dedans.
A l’école. Tout le monde s’insulte. Tout s’en fou. Plus les années passent et je me demande qu’est-ce que je me casse le cul à venir, de toute façon, je n’ai aucun avenir. Je suis née dans la merde et quoi qu’il se passe j’y resterais. Je ne suis pas l’une de ses gamines de milliardaire qui assorti son sac à main à ses chaussures du jour. Moi je me contente de basket dépassées et trouées, d’un vieux jean détendu et d’un débardeur trop grand. Alors je ne me fais pas d’illusion. Je fais partis de ses pauvres familles qui ne quitterons jamais leur bled dégueulasse. Je suis de celle qui a 13 ans avait déjà perdu sa virginité. Ici c’est un gage de classe. Si t’as pas couché t’es qu’une moins que rien. Ce ne sont juste que des gestes de va-et-vient sans aucuns intérêts. Tu n’en comprends pas le sens mais tu veux juste changer l’étiquette que l’on te place sur la tête. Tu ne réfléchis pas, tu le fais, c’est tout. Tu ne te souviens même plus de la tête qu’il avait. Il y en a eu tellement.
Alors j’avance. Je piétine. Je donne des coups. Je me fraie un chemin au milieu de la colère des gens. Je ne leur reproche pas d’être si violent. La société à fait ça d’eux. Ma mère me répétait sans intérêt de ne pas sortir la nuit, que c’est dangereux. Combien de fois je suis rentrée honteuse et silencieuse ? Elle avait raison… Ici on ne parle pas de ça. Ça arrive tous les jours. Rentrer dans le jeu de personne malsaine. Se faire frapper. Se faire violer.
Ma mère n’a jamais vu la brûlure de cigarette que j’ai sur le bras ni des bleus et coupures que j’ai sur le corps. Je ne suis qu’une blanche, frêle qui veut un peu trop jouer les brutes. Alors comme tous. Je veux arrêter l’école. Me faire du fric. La meilleure solution ? Dealer. Se faire une réputation, s’endurcir et ne pas se laisser marcher dessus. C’est à coup de sac de box dans une salle miteuse que je travaillais mon profil. Mais je n’étais pas très doué pour ça. Mais j’étais bien foutue. Ça on me le répétait bien assez comme ça. Pas de message trempé dans le sucre, juste des paroles sèches qui vont droit au but.  On a beau dire qu’on est jeune, qu’à 16 ans on ne devrait pas penser à ça. Mais réfléchissez-y, Roméo et Juliette avait cet âge-là. Ce n’est peut-être qu’une histoire mais croyez-moi, ce n’est pas seulement réservé aux adultes.



Les années passent et ne changent pas. Je suis toujours moi. 18 ans passées et tout juste un diplôme qui ne rime à rien. Un cul, des seins et des grands yeux c’est tout ce qui compte. Robe trop courte et moulante. Je sais ce que vous pensez, à la prostitution. Ce n’est pas tout à fait ça. Rencontrer des hommes friqués et ce les mettre dans la poche pour se faire offrir tout ce que l’on veut en contrepartie de ce que leur femme bien trop prude ne leur offre pas.
Pendant tout ce temps, j’ai appris la manipulation. Vous savez on n’a pas trop le choix. Quand ta mère se bousille en accumulant deux métiers, tu ne veux pas être un poids en plus pour elle. Je veux m’envoler de mes propres ailes. Ma garde-robe se remplissait et je sentais le besoin de voir plus grand.
J’avais réussi à profiter d’un pauvre nigaud. Il était en manque. Depuis que sa femme avait accouchée elle ne voulait plus qu’il la touche. Pauvre homme d’affaire au portefeuille bien rempli et aux bourses tout autant… Je n’avais qu’à lui tailler une pipe, me trémousser devant lui et crier que je pouvais obtenir ce que je voulais. Je suis de celle qui ont réussi à tellement séduire à amadouer un homme qu’elle a fini comme sa maitresse. Il est clair que je ne l’aimais pas. Autant dire que je ne sais pas à quoi ressemble les sentiments. Cœur de pierre et cuisses ouvertes.  C’est mon mantra. J’avais tellement fait semblant au cours de ma vie que je n’étais plus à ça près. D’autant plus quand on pense que là j’y gagnais un appartement meublé à Paris, une garde-robe bien remplie, une carte bancaire à faire chauffer.


Les années passaient. Rien ne se ressemblaient. Je passais d’endroit en endroit sans jamais me retourner. A quoi bon ? Tout était pourri autour de moi. Pleins de faux semblants abjectes. L’argent ce n’est que de la pourriture. On se croit heureux mais on ne l’est pas plus que dans la misère, on a juste l’illusion d’être plus heureux. Je ne suis pas restée longtemps avec l’homme aux milles billets, bien trop contraignant. Je ne voulais pas me lancer dans des histoires impossibles. Ou juste il m’avait surpris baiser un autre dans l’appart. S’il savait…
J’avais repris le cours de ma vie remplie de faux semblants. Je me faisais passer pour quelqu’un que je n’étais pas. Je jouais les grandes dans une cour qui n’était pas la mienne. C’était assez compliqué. Je divaguais entre différents apparts de personnes que je rencontrais. J’étais vouée à mourir d’overdose dans le coin d’une rue ou juste mourir d’avoir trop vécue trop vite. Et puis il y a lui…

‘Today I met Sam.’
Vous savez ce genre de chose complètement débile et gerbant. C’est bien la première fois que je ressens une telle chose. J’ai toujours mis une règle d’or à ne pas me laisser allez comme ça. Se faire avoir pour rien. Parce qu’au final on souffre. Et là je me suis jetée corps et âme vers lui. Sûrement pour contenter les petites étoiles qui brillaient au fond de mes yeux. Je n’avais pas cru un jour trouver de l’importance dans tous ce qui me répugnait. L’opulence, l’argent, l’arrogance… Je craquais littéralement quand je le voyais et je savais qu’il ne s’intéresserait pas à moi s’il savait qui j’étais vraiment. Alors je me cachais derrière un masque d’hypocrisie et d’égoïsme. Je jouais les saintes ni touche blindée. La garde-robe que j’avais réussie à me faire suffisait à en mettre plein la vue, seulement, il ne savait pas où je vivais, dans cet espèce de taudis répugnant. Cet homme à la classe environnante et au charme blasant avait réussi à m’avoir. Ce n’était peut-être qu’un flirt de vacance, après tout, il m’avait dit qu’il faisait le tour de l’Europe en voilier. Je m’étais fait des films, j’avais rêvé et j’étais retombé sur terre. Il devait partir. Retourné chez lui. Il m’avait demandé de le suivre mais j’avais refusé. Il m’avait parlé de Brisbane. Moi j’avais arrêté les études mais on n ’avait pas abordé ce sujet. Je me sentais conne, vraiment nulle, plus bas que terre.
Alors je l’avais regardé partir, mon cœur se brisant petit à petit. J’avais découvert ce qu’étais le chagrin d’amour. Je ne le connaissais pas mais j’en avais appris suffisamment pour m’attacher à lui. C’était ridicule je sais mais je ne contrôlais rien à mon grand malheur. Quand il avait quitté la ville pour continuer son périple je pensais à tout ce qu’il m’avait dit. Il avait littéralement changé mes perceptives. Je ne voyais plus que mes jours sombres sans bonheur mais une lueur de réussite.
J’avais revu ma mère. Elle avait vieillie en l’espace de si peu de temps. Le travail l’achevait. Je ne voulais pas finir comme elle et pourtant j’envisageais déjà d’aller le rejoindre… Mais à voir l’état de ma mère complètement fatigué, ça me donna comme une charge électrique. Il fallait que je me bouge. Que je redevienne le requin tigre. Que je prenne le taureau par les cornes ou toutes les autres expressions barbantes qui en conviennent. Ni une, ni deux je m’étais inscrites à l’université et dans la finance, qu’elle blague non ? Moi qui étais complètement fauchée !



Après des semaines d’études compliqué, je commençais à partir en dépression. J’étais seul, perdue et je n’y connaissais rien. J’essayais de redoubler d’effort, de tout donner mais j’étais perturbée. J’avais beau essayé de l’oublier, de passer à autre chose. J’ai même pensé à tout arrêter. Et une idée me traversa l’esprit. Sam. Mais pourquoi lui ? Je devenais folle. Je n’arrivais à faire la part des choses, je n’avais pas été élevé pour et on ne m’avait encore moins appris à réagir à ces conneries de sentiments. Je t’en foutrais moi de l’attachement. Plus jamais. C’est ce qu’on se dit toujours. Et puis voilà, je me retrouve à aller acheter un billet d’avion avec le peu d’argent que je me faisais dans mon petit boulot de serveuse. Je ne pouvais plus reculer, j’y avait mis presque toute mes économies alors ça devait en valoir la peine… J’avais rempli une grosse valise, avait réussi à transférer mon dossier dans une université Australienne. Ça n’avait pas été facile. J’avais dû passer des entretiens, parler en long, en large et en travers de l’intérêt et surtout la place que j’y trouverais. Ça n’avait pas été facile et de tout repos mais j’y avais mis cœur et âme. J’avais plus parler anglais ces dernières semaines que toute ma vie. J’avais suivi des cours en anglais, fait des contrôles et ils avaient enfin approuvé ma demande ainsi que l’université de Brisbane. C’était l’heure du grand voyage. J’avais peur, peu confiance mais j’avais besoin d’avancer, de changer d’air. Alors je m’étais pointée comme une fleur devant l’adresse qu’il m’avait donné si un jour j’étais par là-bas… Chose qu’il n’imaginait certainement pas du tout…
Et il n’était pas là. Mauvaise adresse. Peut-être c’était-il planté dans le numéro de maison, j’avais fait tout le quartier mais je n’étais pas tombé sur lui. Quelle foutue conne j’avais fait. Il ne voulait pas me revoir et je le comprenais bien. Il avait surement découvert la belle entourloupe, il avait dû s’apercevoir que je n’étais que faux semblants. En même temps, il est plutôt difficile de jouer dans leur cour d’égoïsme.
Alors voilà. Je suis plantée à Brisbane, avec ma peine pour me tenir compagnie. Quelle imbécile ! Maintenant, je ne savais plus qui j’étais ni ce que je faisais là, mais il était trop tard pour reculer…



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Sujet Re: "Quand on prend un oiseau pour écrire, ça s'appelle twitter" ¤ Timea
Lun 20 Nov - 22:11
LE TITRE + L'AVATAR + LE PSEUDO + L'HISTOIRE (sans déconner j'ai adoré te lire :**: )  = JE SUIS FAN DE TOI J'EXIGERAI UN LIEN.


BIENVENUUUUUE :little:
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Sujet Re: "Quand on prend un oiseau pour écrire, ça s'appelle twitter" ¤ Timea
Lun 20 Nov - 22:49
Lili ! :red:
Bienvenue sur BB :little:
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Sujet Re: "Quand on prend un oiseau pour écrire, ça s'appelle twitter" ¤ Timea
Mar 21 Nov - 10:35
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:ih:
bienvenuuue ici :red: j'ai vraiment adoré ton histoire :**: :kkeurk:
J'me réserve un lien "Quand on prend un oiseau pour écrire, ça s'appelle twitter" ¤ Timea 217980049 "Quand on prend un oiseau pour écrire, ça s'appelle twitter" ¤ Timea 396686028
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Sujet Re: "Quand on prend un oiseau pour écrire, ça s'appelle twitter" ¤ Timea
Mar 21 Nov - 10:46
Yayyy MERCII BEAUCOUP TONIII "Quand on prend un oiseau pour écrire, ça s'appelle twitter" ¤ Timea 2832630331 "Quand on prend un oiseau pour écrire, ça s'appelle twitter" ¤ Timea 2832630331 J'veux carrément un lien aussi :red: :red: :**: :**:

Mercii Lethaa :cro: :cro: :jm: :jm:

Mercii Gabriela "Quand on prend un oiseau pour écrire, ça s'appelle twitter" ¤ Timea 2832630331 "Quand on prend un oiseau pour écrire, ça s'appelle twitter" ¤ Timea 2832630331 Et c'est même obligatoire de se trouver un lien "Quand on prend un oiseau pour écrire, ça s'appelle twitter" ¤ Timea 3208835583 "Quand on prend un oiseau pour écrire, ça s'appelle twitter" ¤ Timea 3208835583 :**:
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Sujet Re: "Quand on prend un oiseau pour écrire, ça s'appelle twitter" ¤ Timea
Mar 21 Nov - 14:36
bienvenue sur bb :white:
elle est si belle et douce :white:
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Sujet Re: "Quand on prend un oiseau pour écrire, ça s'appelle twitter" ¤ Timea
Mar 21 Nov - 16:59
VALIDATION
Yiiiiihaaaaa, ça y est tu es validé(e) ! c'est top. Maintenant laisse toi guider par les liens ci-dessous pour poser officiellement tes valises. Petit Banana Bender, bienvenue chez toi !

j’aime beaucoup ta plume et la personnalité de timea. :hrt: il faudrait juste que tu changes une petite chose. I love you si timea est en seconde année undergraduate, il faudrait qu’elle est maximum vingt ans. bienvenue officiellement et bon jeu ! "Quand on prend un oiseau pour écrire, ça s'appelle twitter" ¤ Timea 1369465059

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Sujet Re: "Quand on prend un oiseau pour écrire, ça s'appelle twitter" ¤ Timea
Sam 2 Déc - 21:16

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