tu es à moi, point final. Ce soir, t'as entendu parlé de cette soirée sur ton campus, t'es pas du genre à rester des heures dans ta chambre à bosser, c'est tout le contraire. T'es sûrement aider par ta facilité d'apprentissage du coup tu sautes sur l'occasion d'aller encore faire la fête. Prête, tu n'avais pas perdu de temps à rejoindre le lieu de la soirée, immédiatement tu avais été te prendre un verre que tu avalais d'une traite, criant et rejoignant des amis pour danser. Au bout d'une trentaine de minutes et trois ou quatre verres avalés, tu finissais par aller prendre l'air pour fumer ta clope, lorsque tu tombes sur Wolfgang, la langue dans la bouche d'une pétasse. « Putain, y a des chambres pour ça les gars. » Ta clope à la bouche, tu les fixes alors que tu bouillones intérieurement devant la scène mais tu montres rien.

tu es à moi, point final. Donde esta la fiesta? Non parce que, qui dit soirée? Dit moi dedans entrain de foutre un bordel monstre. Ouais, la fête me colle à la peau, d'avantage depuis que j'suis sur le campus étrangement, ou pas. Entouré de jeunes qui ne demandent que ça, hum ça parait évident hein. Bref, ce soir ne fait pas exception, c'est le weekend bordel! Enfin vendredi soir mais ça reste le début du weekend et pour moi ça rime avec ambiance. Alors j'ai pas raté le sms d'un pote venu d'un autre pote qui disait qu'il y avait grosse chouille dans notre st campus le meilleur. Bref, à peine arrivé j'ai salué les potes puis me suis servit un verre, puis un deuxième entre deux conversation. Un peu de danse muy caliente avec une jolie fille et un autre verre pour intimiser notre rencontre si vous voyez ce que j'veux dire. Bref, je mets pas bien longtemps à la charmer vu les yeux qu'elle me fait et le sourire qui va avec et ouais, je profite d'une sortie clope pour lui rouler un patin, juste histoire de... Sauf qu'une certaine demoiselle se pointe pour plomber l'ambiance d'un « Putain, y a des chambres pour ça les gars. » et j'me tourne pour reconnaitre Hyppolite. La nana avec qui j'suis arque un sourcil alors que je réponds "Ne t'en fais surtout pas. On ira juste après si mademoiselle décide d'approfondir tout ça." je souris provocateur, lui offrant un petit jeu de sourcils pour la faire rager d'avantage car j'vois bien que là, elle est vénère et vous savez quoi? J'adore ça. Puis j'me re tourne vers la miss qui se la pète a entendre mon discours, me souriant alors que je me rapproche d'elle à nouveau.

tu es à moi, point final. Tu pensais clairement passer une bonne soirée avec tes potes, parce qu'une soirée sans toi dans les parages c'est pas une soirée en vrai. Jusqu'à ce moment précis, t'étais certaine que t'aller encore finir bourrée et que tu squatterais le pieu d'un mec que t'aurais choisi. Seulement faire face à ce choc visuel ça te refroidit direct, bien sûr t'es pas conne tu sais que Wolf c'est pas un saint et qu'il s’envoie en l'air sans arrêt mais là être face à cette scène c'est comme un coup de massue que tu te prends sur la tronche. Tu serres les dents en essayant de garder cet air détaché tout en balançant la phrase que t'espère les fera arrêter mais tu connais trop ton adversaire et tu sais qu'il à capté que t'es raide de jalousie là. Tu fulmines en le regardant alors qu'il se colle à nouveau contre sa pétasse qui jubile en se croyant déjà en couple avec lui, si elle savait.  « Elle est au courant au moins qu'elle est juste un plan cul dis moi. » Tu souris en t'appuyant contre le mur tirant sur ta cigarette et rejetant fièrement la fumée lorsque la pétasse le regarde surprise. « Et bien visiblement non, comme c'est dommage. » Là tu vas pas mentir, tu jubiles clairement devant le changement d'humeur de la pétasse et une part de toi se prend à penser que si elle le giflait ça ne serait que plus gratifiant pour toi. Tu termines ta cigarette et tu t'approches de la pétasse en souriant grandement. « Je préfère te mettre au courant, il a un gosse. » Tu lui offres un clin d'oeil et t'éclipse pour aller prendre un verre heureuse de ne pas t'être démontée.

tu es à moi, point final. P'tain il fallait qu'elle soit là quoi. Si j'avais su, c'est à elle que je roulerais des patins mais elle m'a pas prévenu aussi, j'suis pas encore devin. Du coup elle m'fait une scène et autant ça m'amuse pour l'instant, autant j'sais qu'elle va tout faire pour me saouler. Je connais bien la tigresse « Elle est au courant au moins qu'elle est juste un plan cul dis moi. », et bim! Je la regarde à nouveau "Arrête d'essayer de foutre la merde, vas plutôt te trouver un mec." alors que la miss avec moi, dont j'ai déjà oublié le prénom me regarde d'un drôle d'air. Miss Wright en proufite pour faire sa belle  « Et bien visiblement non, comme c'est dommage. », je regarde la miss d'un "Hey, déjà je t'ai rien promis, ensuite la soirée ne fait que commencer alors ne l'écoute pas." ouais j'essaie de la rassurer mais pff ça sent pas bon, Hyppo' elle a le don de faire fuir les meufs qui m'tournent autour. Et ce soir elle est déterminée, elle s'approche de la touche du moment pour ajouter « Je préfère te mettre au courant, il a un gosse. », et je soupire, levant les yeux au ciel d'un alors que j'vois déjà la nana pâlir, limite choquée "Ouais cinq même pendant qu'on y est. Trois garçons et deux filles et la plus petite à six mois. Tu vois j'peux t'en raconter autant que j'veux des conneries moi aussi. Alors laisse tomber et l'écoute pas j'te jure, elle raconte n'importe quoi." Hippo' s'éloigne pour aller prendre un verre et la miss décide de couper court et... Et merde. Je peste, allant vers Hippo' lui piquant son verre à même la main pour l'avaler cul sec "Elle s'est sauvée t'es contente?" tu as réussi ton coup bravo.

tu es à moi, point final. Tu avais alors assisté à la scène qui se déroulait devant toi et que tu avais volontairement provoqué. Dans tes yeux brillait l'éclat de fierté lorsque tu voyais le pauvre Wolf en train de ramer pour rattraper le coup. Pourtant, tu avais filé l'air de rien en croisant les doigts pour que la pétasse finisse par fuir de peur de ce taper un père de famille. D'ailleurs t'avais du prendre sur toi pour pas exploser de rire en écoutant les conneries qu'avait sorti le brun. T’apprêtant à boire ton verre, tu le vois atterrir dans les main de Wolfgang qui se l'enfile d'une traite visiblement contrarié. « Oh mon pauvre petit chéri, elle n'a pas compris mon humour ? » Avec ton petit air innocent, tu as le sourire aux lèvres tandis que tu prends un autre verre pour l'avaler à ton tour d'une traite plantant par la suite ton regard dans celui de Wolf. « Comme si elle avait la moindre chance face à moi. » Ajoutes-tu avant de poser ta main sur son torse pour glisser ces derniers mots à son oreille : « On sait tous les deux ce que tu veux vraiment. » Tu recules pour attraper la main d'un mec prit au hasard et l'attire contre toi pour une danse sexy, tu comptais lui montrer qui avait le dessus ce soir.

tu es à moi, point final. Bon bah... Bye le coup du soir, bonsoir. Putain elle a tout gâché quoi, j'ai pas la haine mais presque. Juste, j'aime pas perdre, j'aime pas qu'on me pique mes jouets et j'aime pas qu'on me gâche une partie de jambes en l'air non plus. Le pire? C'est que ça vient d'elle j'dirais, ça en rajoute une couche à ma frustration là alors autant aller la faire chier pour compenser. Je lui pique son verre et elle me répond « Oh mon pauvre petit chéri, elle n'a pas compris mon humour ? », une moue et je secouais légèrement la tête en fixant droit devant moi pensif une seconde "Non mais en même temps t'as un humour de merde." ouais pour le coup il l'était, pour le reste je l'apprécie assez souvent. Elle décide à son tour de descendre un verre cul sec pour se rapprocher un bref instant, juste histoire de capter mon regard, ce qui fonctionne « Comme si elle avait la moindre chance face à moi. » posant sa main sur mon torse « On sait tous les deux ce que tu veux vraiment. » pour reculer et chopper le premier mec qui venait histoire d'y coller son cul le temps d'une danse. Me mordant l'intérieur de la joue, je la regarde faire quelques secondes avant de tourner la tête pour prendre un autre verre. Je reste un moment à le fixer, avant que ça ne devienne plus fort que moi et que je reporte mon attention sur elle et ce mec qui commence à la tripoter et... Merde! J'avale ce foutu verre cul sec pour me diriger vers elle et pousser le mec d'un coup "C'est bon, vous vous êtes bien amusé maintenant casse toi." il me regarde mauvais, pas décidé à bouger visiblement "Quoi? T'es sourd ou tu préfère que j'te défonce la gueule peut-être?" que j'enchaine près à lui taper dessus, avançant même d'un pas vers lui les poings serrés. Ouais j'suis chaud là, il m'a énervé. On touche pas à MA Hyppolite en fait, c'est ma propriété.

tu es à moi, point final. La tournure de cette soirée prenait enfin le chemin désirée, tu avais pu constaté le départ de la pétasse, surnom qu'il lui allait définitivement bien, puis tu avais savouré ta victoire devant le visage fermé de Wolfgang. Maintenant que tu étais parvenue à tes fins, il était temps pour toi de reprendre ta soirée, tu voulais t'amuser et il était évident que celui avec qui tu avais envie de joué était là sous tes yeux. « En ce qui concerne mon humour, soit je peux te l'accorder mais moi j'ai bien ris. Avec son petit air de fille outré qui peut pas se taper un père de famille. » C'était plus fort que toi, tu en riais encore. Tout ceux ci n'allait guère pas augmenter la bonne humeur du brun mais soit. Finissant par lui faire comprendre explicitement qu'aucunes filles ne seraient à la hauteur de ce que vous pouviez avoir tous les deux, tu t'étais éclipsée avec un mec. Acte deux, scène un. Comme, tu l'avais imaginé, le jeune homme ne tardait pas pour glisser ses mains sur tes fesses, tout en se permettant quelques main sous ton haut. Finalement, très vite Wolf débarque pour faire valser ton cavalier, seulement tu te rends bien compte que le mec à pas envie de lâcher sa proie alors le brun s'énerve clairement. « Wolf, arrête ça en vaut pas la peine, viens avec moi. » Tu l'attrapes par le bras, décidant de retourner prendre l'air avec lui. T'espérais qu'aller avec lui et de vous isoler juste tout les deux le ferait redescendre. Clairement, t'en avais rien à foutre de ce mec toi. « Un par tout, balle au centre, avec qui je passe la nuit moi maintenant. » Dis-tu en croisant les bras en le fixant du regard, il y avait rien à faire l'évidence même lorsque tu avais croisé son regard un peu plus tôt, il n'y avait que lui avec qui t'avais envie d'être seulement t'es trop fière pour l'admettre.

tu es à moi, point final. Elle est fière et satisfaite, j'le vois bien sur son visage et ça m'fait chier. J'aime pas qu'elle gagne ce genre de bataille, surtout qu'elle m'a pourrit la soirée pour le coup et ça c'est chiant. J'vais devoir me venger ou me rattraper ailleurs, ça dépend. Là c'est elle qui m'intéresse pour le moment, comme à chaque fois de toute façon... C'est visiblement plus fort que moi, que nous « En ce qui concerne mon humour, soit je peux te l'accorder mais moi j'ai bien ris. Avec son petit air de fille outré qui peut pas se taper un père de famille. », je secouais la tête en pestant "T'as trop abusé avec cette blague là." ouais il était too much franchement, m'enfin, si la meuf était assez conne pour y croire tant pis pour elle, c'est que je rate rien de bien folichon. Sauf que là, Hippo' elle décide de me chercher une seconde fois, mais en provoquant cette fois ci, allant se frotter à ce ken au poil lustré. Dégueulasse. Qu'elle me vire une potentielle proie ça passe, mais ça non. Alors je m'enflamme pour les séparer, menaçant le grand couillon de lui tomber dessus vu qu'il ne semble pas tout à fait saisir le message. J'suis prêt à lui cogner dessus s'il faut. On touche pas à Hippo', encore moins devant moi. Et direct la miss réagit en attrapant mon bras « Wolf, arrête ça en vaut pas la peine, viens avec moi. », pour m'attirer à l'extérieur. Je fixe le mec tout en la suivant, le laissant comme un con au milieu de la foule et docile ou presque, je marche derrière ma belle jusqu'à l'extérieur où on se retrouve un peu plus tranquille. Je me fixe devant elle en allumant ma clope alors qu'elle croise les bras pour me dire « Un partout, balle au centre, avec qui je passe la nuit moi maintenant. », petit sourire en coin, je hausse les épaules d'un "Moi. Il ressemblait franchement à rien. J'en vaux carrément plus le coup." lui soufflant ma fumée au visage avant de me rapprocher plus près, beaucoup plus près "Et tu m'dois au moins ça pour avoir fait fuir ma proie." ou tout simplement que j'ai juste envie que ce soit moi en fait. Rien à foutre de lui ou d'elle, juste nous deux en fait "C'est moi que tu veux de toute façon..." j'me lèche la lèvre inférieur, rapprochant mon visage du sien...

tu es à moi, point final. Une soirée comme celle ci vous en avez vécu des tas, parce que dès que tu te trouves dans la même soirée, dans le même bar ou club bah tu peux pas t'empêcher de vouloir qu'il n'y ait que toi à ses yeux. Jeu puérile sans doute, mais jeu dans lequel vous vous trouvez sans cesse. Y a pas d'âge pour être un enfant, pas d'âge pour désirer l'inaccessible. Tu le regardes alors que tu te sentirais presque mal en le voyant comme ça, mais tu peux pas parce que t'es trop fière de tes agissements, trop fière qu'il ne voit que toi, enfin.. « J'avoue. Seulement, t'avais qu'à mettre ta langue ailleurs aussi, toi. » Jalousie, amie fidèle qui ne cesse de te faire perdre la tête en sa présence, jalousie maîtresse de tes émotions et qui te dites tes actes. Il y aussi sa meilleure amie, possessivité qui te fait perdre tout notion de bien et de mal. Celle qui t'oblige à lui faire réaliser qu'il te veut toi, alors quand tu danses avec ce gars, les choses dégénèrent encore une fois. Tu l'attires vers la sortie, alors que tu le vois se calmer et que bien sûr il est content de voir qu'il a put arriver à ses fins. Sa fumée qui glisse le long de ton visage puis son corps qui se rapproche dangereusement du tien, à cet instant vous avez enfin obtenue ce que vous vouliez. Tu le défis du regard en te mordant la lèvre tandis que ces mots te font frissonner. Il a raison, c'est lui que tu veux et bon sang que t'assumeras jamais ça même si tu dois crever de jalousie ou exploser toute la vaisselle qui te passeras sous la main. « T'as l'air bien sûr de toi.. » Souffles tu dans un murmure alors que vos visages sont si près que vos lèvres pourraient se frôler. Tu regardes ses yeux un moment, alors que ces lèvres finissent par attirer ton attention. « Putain ce que je te déteste.. » Pour cet envie constante qu'il te fait ressentir, pour ce manège à sensation forte que représente votre relation mais surtout parce que tu le sais il est à TOI et à personne d'autre. La femme fermé, distante et prudente perd toutes ces barrières au côtés de Wolf. Tu combles les dernier centimètres qui vous sépare et l'embrasse enfin..

tu es à moi, point final. Avec elle c'est systématiquement comme ça... C'est notre truc, bizarre, pas tellement compréhensible, mais notre truc malgré tout. On peut pas être au même endroit sans jalouser à s'en faire rager, à en mal parler aux gens trop proches de nous ou à cogner. Parce qu'on s'attire comme des putains d'aimants. C'est hors contrôle et on est pas ensemble pour autant. On est con hein? Vous pouvez l'dire. Mais c'est comme ça entre nous, j'ai rien pour l'expliquer. J'la veux pour moi, elle me veut pour elle, on partage pas mais on se cherche perpétuellement à se mettre au défi, comme essayer de prouver le contraire à l'autre sauf.. Que ça marche jamais. Ce soir encore en est une preuve. Elle a fait fuir ma brune, j'allais cogné sur son ken, bref, nous voilà isolés dehors, juste elle et moi et ça me convient très bien finalement parce que c'est ce que je voulais, de base. Je me rapproche alors dangereusement d'elle, soufflant ma fumée sur son visage, la mettant au défi d'me dire le contraire de mes paroles et elle murmure « T'as l'air bien sûr de toi.. » et je souris en coin, venant toujours plus près "Parce que j'ai raison." et j'le sais, suffit que je la regarde là tout d'suite pour le voir. On se fixe, on se dévore du regard et elle lâche soudain « Putain ce que je te déteste.. » et hop elle rompe la distance pour venir plaquer ses lèvres contre les miennes et bordel c'est tout ce que j'attendais d'elle, qu'elle me cède encore une fois. Je passe mes bras autour d'elle, une main sur ses reins, l'autre remontant à sa nuque pour la tenir plus fermement contre moi en dévorant ses lèvres. J'aime tellement son gout et son parfum... Ça j'veux le partager avec personne, je ne veux LA partager avec personne. Et je la fais reculer, venant la plaquer contre le mur derrière elle.

tu es à moi, point final. Tu lui cèdes encore une fois, parce qu'il te possède entièrement sans même le réaliser. Dans ce rôle que tu te donnes de ne jamais lui appartenir, de garder cette liberté qui t'es propre, tu ne fais que te voiler la face parce qu'encore une fois t'es dans ses bras et tu veux être nulle part ailleurs. Ce baiser, il est envieux, possessif et tu t'accroches à lui comme si ta vie en dépendait à présent. Comme tu t'y attends, il presse ton corps contre le sien, ta langue joueuse se glisse pour rejoindre la sienne dans une valse effréné. Ton corps percute le mur et tu lâches un long soupire, ton bassin le réclame, ton corps tout entier le désir. Il est à toi et à personnes d'autre, qu'il le comprenne une bonne fois pour toute. T'as besoin de lui et tu lui fais ressentir, parce que y a des trucs que t'avoueras jamais c'est pas ton genre mais ton corps lui il parle pour toi. Tu tires sur ses cheveux, faisant basculer sa tête en arrière pour venir enfoncer tes dents dans son cou, tu veux y laisser ta trace marque de ton passage. Ta bouche glisse dans son cou et joue avec le lobe de son oreille avant de revenir capturer ces lèvres avec envie une nouvelle fois. Tu t'en fou de la soirée, des gens qui pourraient débarqué parce que ce moment tu l'as voulu à l'instant où tes yeux ce sont posés sur lui avec cette fille.