i'm alright — bellone, herston, c'est comme son deuxième campus, loin du standing de certains de leurs habitants, elle n'en reste pas moins attiré pour un calme parfois apaisant. bellone elle traîne bien souvent vers la faculté de médecine, non aucun problème de santé pourtant, peut-être son âme égarer quelque part dans la poche d'un de leur étudiant, oui bellone pense souvent à lui, pourtant elle ne devrait pas. car bellone elle est sans doute un peu accro à cette personne, mais trop de fierté pour se l'avouer, puis ce mec, c'est tout ce qu'elle déteste dans un même corps, bellone et tybalt deux personnes incompatibles pourtant elle ne peut s'empêcher de revenir vers lui, parce qu'elle ne pourrait pas se passer d'un cas pareil dans sa vie, tybalt, c'était ce sale gosse qu'elle aimait bien recadrer, donneuse de leçons professionnelle, leurs discussions ne rime principalement qu'à dispute et réconciliation, bellone elle est bien trop faible pour le laisser sans nouvelles pendant plus d'une semaine, et pourtant dieu seul sait à quel point, ce tybalt, elle l'enverrait à l'autre bout du monde si elle le pouvait. parce que cet homme est aussi attirant qu'il est débile. bellone, elle sort du hall une fois avoir distribué ses tracts pour la cause animale à l'intérieur de l'enceinte, elle espérait le voir, mais apparemment, il n'était pas en cours, elle part déçu. yeux rivés vers le sol, une ombre masculine lui fait lever l'regard, tybalt, l'nez en sang.. tybalt ce con, il avait encore touché à ces merdes. t'es vraiment trop belle. bellone, elle ne cherche pas bien loin, tybalt, il est tellement prévisible, alors elle lui arrache cette saleté des mains, du bout du pied elle vient le piétiner. t'es culotté. il est défoncé, complétement. bellone, elle s'est habitué à toutes ses belles paroles, trop prévisible. tu me dégoûtes sérieux, j'peux vraiment plus te blairer.. elle sort un mouchoir de son sac à main, et elle vient nettoyer le sang présent, on fait avec les moyens du bord. j'veux plus te voir traîner avec cette merde, sinon, j'te jure que les conséquences, tu vas les sentir passer. bellone, elle le menace, bellone elle est sérieuse, bien qu'elle ne sait que trop bien, que ce genre de chose passe avant elle.

i'm alright — tybalt, il ne cessait de la regarder. elle était belle. c'était la plus belle. tybalt il n'avait d'yeux que pour elle. et pourtant. tout n'était pas rose. une teinte de rouge et de noir. jamais de blanc. trop pur pour lui. il était content de la voir tybalt. parce qu'il était attiré. parce qu'il la kiffait bien trop. mais tybalt il aimait aussi tout ce qui n'était pas bon. fossé qui se creuse entre les deux, dès lors qu'elle pose les yeux sur son calumet. il grimace tybalt. ça l'fait chier qu'elle lui ait arraché des mains comme ça.mais quand elle vint poser ce mouchoir qu'elle tient de sa main pour venir essuyer son sang. tybalt il est tout gamin. le regard plongé dans les siens. il n'écoute plus rien. pas même ses leçons. il entend simplement les battements de son coeur. trop fort. trop puissant. il veut s'approcher encore plus près d'elle. alors il le fait. jusqu'à enfouir sa tête dans son cou. qu'il était bien. j'suis pas content. qu'il dit. parce qu'elle lui avait ôté son plaisir. t'es qu'une gamine, à dire ça, laisse moi tranquille à faire ma vie. c'était une phrase pleine de colère et pourtant il était calme. la tête dans son cou. il ne voulait pas hausser le ton. ça faisait mal à la tête. embrasse moi, bellone. qu'il dit. parce qu'il en avait envie. trop peut-être. mais tybalt, là, il maîtrisait rien de rien. et bellone, elle risquait de ne pas apprécier.