Play with me Alexie

Soirée intéressante en vue. Mes amis et moi avions décidés de nous dégourdir les jambes au Night club, souhaitant surtout ne pas finir la soirée seuls. Mes colocataires vont encore rager, je le sais, généralement les demoiselles sont rarement discrètes, pour mon plus grand malheur. Les conquêtes, je les enchaîne, parce que me poser n’est pas une éventualité. J’ai mes quelques « coup de cœur », celles avec qui j’aime passer du temps et l’une d’entre elles, je suis à l’heure actuelle en train de lui envoyer un message. « Ramène tes jolies fesses au night club princesse, je sais que t’en crève d’envie. » Sourire aux lèvres, j’envoie le message, finissant de m’apprêter. Il est tard, presque onze heure, mais au final, c’est l’heure parfaite pour bouger. Montant dans ma voiture de sport, j’attends ma bande de pote. Chacun sa bagnole, formant une ligne parfaite avec nos bagnoles voyantes de gosses de riches. On est comme ça…extraverti, on adore se faire remarquer, ce n’est pas nouveau. Quelques paroles échangées à travers les fenêtres, des rires amusés alors qu’on charrie l’intello et ses lunettes – apparemment monsieur a paumé ses lentilles – et nous voilà partis. Les moteurs grondent, les pneus crient et c’est une vingtaine de minutes plus tard que nous entrons par la porte VIP. Nous sommes des habitués, notre table est déjà réservée dans le carré VIP que nous avons mérité, qui nous reviens de droit en quelque sorte. Qu’importe, tant qu’on se marche pas dessus, moi ça me va. La boite, elle vibre sous la musique, sous les corps qui se déchaînent sur la piste de danse. Une chemise blanche sur le dos, un jeans de marque, des chaussures assez classe mais pas trop, comme toujours j’ai fait en sorte d’être élégant. On commande trois bouteilles directement. Vodka, whisky et champagne, de quoi pouvoir s’amuser. Déjà, l’ambiance est au rendez-vous et celle que l’on nomme affectueuse la princesse, elle vient se poser sur mes genoux, par habitude…mais aussi parce que nous couchions ensemble de temps en temps. Trop jalouse, trop possessive, ça engendre pas mal d’embrouilles ce qui a tendance à me prendre la tête. Mon verre de Whisky en main, je laisse mon regard glisser dans la foule, observant les corps danser collés serrer…ça me ferait presque rire ce jeu de séduction qu’ils ont tous décidés d’entamer. Certains s’y prennent mieux que d’autres, certains semblent complètement ridicules…Portant mon verre à mes lèvres, je bois une énième gorgée de ce liquide enivrant avant de reporter mon attention sur mes compagnons.

Play with me Esteban

Tu penses à ta vie, ta vie minable, t'aspire pas à cette vie basique, t'aspire à beaucoup mieux. Ta vie est une accumulation de réussite qui ce finie par un putain d'échec. Après tes études tu pensais atteindre le sommet tu tes retrouvés au fond d'un trou dans un vieux café que ses gosses de riches squats. Tu passes tes journées à les côtoyer ses petits riches qui exhibe la richesse de leurs parents. Je pense pas que vous êtes tant débile que ça pour croire que ses leurs frics, la seule chose qui savent faire ses le dépenser. Ils ne savent pas ce que ses de travailler, ils ont leurs têtes plonger dans des livres d'histoire alors qu'ils sont mêmes pas capable d'énumérer les dates importantes de l'histoire de l'Australie. Ils te font plus pitié qu'autre chose, mais ils sont attachent, ses tes animaux de compagnies, tes sacs à main que tu balades lorsque tu squattes les rues de Brisbane. Ça t'amuse de les avoirs à tes côtés, ils sont drôles quoiqu'il soit débile mais ils peuvent pas avoir le fric et l'intelligence. Tes pas du genre à sortir, tu à d'autres choses à penser et pourtant ton rêve de quelques heures de sommeil que tu trimbales sur ton dos depuis toute la journée risque bien de s'effacer. « Ramène tes jolies fesses au night club princesse, je sais que t’en crève d’envie. » Il parle mieux au lit que par SMS apparemment. Ta jamais comprise ce qui te plait chez lui, pas son compte en banque ça ses sûr t'y a pas accès. Il est attachant malgré ses nombreux défauts, mais bon tu fais abstraction de ses défauts quand tes avec, sinon tu passerais ton temps à le remettre en place et clairement ton pas que ça a foutre. Tu n'as pas le choix, tu vas pas le laisser seul en boîte entourer de nanas toutes plus nunuches les unes des autres. C'est là que tu dis qu'il a trouvé le Graal avec toi. Tes pas du genre à te presser pour sortir, alors tu te déshabilles tranquillement pour rejoindre ta douche. L'eau chaude vient rapidement glisser le long de ta nuque avant de rejoindre ta poitrine. Après plusieurs minutes a profité de l'eau gratuite tu quittes ta douche une serviette couvrant ton corps de rêve tandis que tu te fixes dans le miroir, à croire que tu t'admires. Tes belles tu le sais, et t'en joue, qui ne le ferrait pas a ta place ? Tu te sèches rapidement les cheveux il est hors de question que tu ressembles à Dora l'exploratrice version censurée pour le voir. Tu t'habilles d'une longue combinaison rouge en dentelle qui t'a coûté une fortune, trois mois de travail pour l'obtenir ce bijou de la mode. Ce n'est pas parce que tes pauvres que tes obligés de t'habiller comme une cassosse qui sort de l'école primaire. Un dernier coup de peigne dans tes cheveux et te voila partie avec plusieurs minutes de retard oups, ça prend du temps de ressembler a autre chose qu'un chat mort, un Taxi est ta partie, cette soirée vas encore te goûter une fortune, tant-pis tu grattera du fric au personne qui vienne au café. T'arrive devant la boîte, un mec vient te donner la main pour d'aider à descendre de la voiture. « Non merci, j'sais pas ou vous avez mis vos mains pas envie d'attraper une maladie. » Tu t'appuie sur le rebord du siège du taxi pour descendre tandis que tu fait le grand-écart pour éviter de salir ta magnifique tenues a milles balles. Tu avance pour rejoindre l'intérieur de la boite tandis que ta chevelure effleure ta nuque ce qui te provoque quelques chatouilles tandis qu'un sourire ce dessine délicatement sur ton visage pâle, tes pas du genre a te maquiller comme une catin juste du rouge a lèvres suffisse a sublimer ton visage, tu a opter pour un magnifique rouge a lèvres basique rouge qui suit avec ta robe. Très vite l'odeur de respiration arrive jusqu'à tes narines fragiles, ce qui a pour but de te dégouter, quand tu penses à tous ses gens qui se frotte alors qu'ils ont trois tonnes de transpiration sous leurs aisselles. T'avance délicatement dans la boîte avant d’accélérer le rythme pour passer cette épreuve digne de Koh-Lanta. Tu avance l'air sur de toi, mais tu te calme rapidement quand tu remarque au loin, Esteban, avec une de ses nombreuses videuses sur ses genoux. Ta fierté en prend un coup, tes pas du genre à le montrer alors tu continues d'avancer pour rejoindre la table qu'il a réservé pour toi, lui, et ses sous-fifres. « Bon la Rihanna du pauvre, bouge ton fessier ou ses moi qui vais te bouger. » Comme tu t'y attendais elle ne bouge pas, ce qui t'oblige a venir squatter les genoux d'Esteban. « Dommage pour toi le mien et plus large. » Pour ne pas faire d'histoire elle ce décide enfin a bouger ce qui te permet de te décaler de te placer a côté de lui tandis qu'elle rejoint la piste des danses pour ce bouger. « Tes content, une nouvelle proie, ou une que tu voie régulièrement, avec toi j'arrive plus a les compter a chaque fois que je te voie il y a un lot de nouvelle que tu as visiter. » Tu le regarde, avec ton regard froid non pas que tu sois jalouse t'en a un peu rien a foutre de lui et t'évite de t'abstenir de sexe pendant de longs mois, mais tes pas du genre a partager tes jouets. Tes comme une gosse a noël tu prête rien et pour toi ses normales. Et pourtant il peux pas résister en sa tapper d'autre que toi. Quand ta la perfection tu te tape pas une centaines de moche, toutes réunies elle t'arrive pas au talon.

Play with me Alexie

Le temps, il s’écoule, c’est un peu comme la vie. La fille, elle miaule, elle ronronne, elle m’exaspère presque tellement c’est facile. J’aime le sport, les challenges et surtout, j’aime m’amuser. Mais comment trouver de l’amusement quand il n’y a pas de défis à relever ? C’est souvent ce que mon père me dit, me chantonne sous ses airs de grand PDG. Souvent, j’ai envie de l’étrangler mon paternel. Comment ose-t-il me donner des leçons alors qu’il n’est pas foutu de sauver son couple. Oui, chez moi, c’est la guerre. Ils vont se séparer, je ne suis pas con ni aveugle, la famille, ça n’a jamais été notre truc. Une mère trop souvent absente, élevé par une nourrice comme ma sœur, elle m’a eu extrêmement jeune. Seize ans, c’est trop tôt, c’est ce qu’elle a dû se dire, c’est moi qui ai précipité ce mariage qui tombe à présent en ruine. Parfois, je me demande si ce n’est pas de ma faute…Et si je n’étais pas né ? Et si j’étais arrivé quelques années plus tard, cela aurait-il changé quelque chose ? Alors oui, dire que je n’en souffre pas serait mentir, mais comme toujours, je sais le cacher. J’ai une éducation poussée, j’ai grandi entourer de deux requins aux émotions froides, surtout ma mère, elle, c’est carrément la reine de glace. Peut-être ai-je hérité de cette capacité ? Un bien pour un mal, ainsi, je ne parais pas fragile aux yeux des autres. Il est certain que notre monde est fait de faux semblants, d’apparences. Soit tu bouffes les autres, soit tu es bouffés…Moi, j’ai préféré être dans la première catégorie et ce, depuis que je sais parler, respirer ou encore marcher. Ouai, j’ai toujours été un garçon colérique, sachant faire les yeux doux pour obtenir gain de cause.

Alors je joue des apparences, je m’amuse avec les corps, avec les cœurs, parce que le mien, il est inatteignable. Je ne veux pas finir comme eux, ou encore comme ce couple qui se lèche la face à deux tables de moi. Moi, je préfère de loin mon côté volage…enfin, c’est ce que je prétends. Au final, n’ai-je pas une once d’espoir de trouver chaussure à mon pied un jour ? Si, bien sûr que si. Ceux qui ne l’espère pas se voilent la face, se murmures des mensonges. Nous avons tous cette lueur d’espoir au fond du cœur, de trouver cette personne, la personne qui changera toute notre vie. Mais pour l’instant, je fais partie de ceux qui se voilent la face, je ne veux rien savoir, je ne veux rien voir. Je me contente d’enchaîner les demoiselles dans mon lit, changeant régulièrement de jouets, de demoiselles comme je change de chemise. Je ne le fais jamais véritablement méchamment, je ne promets rien et si elles espèrent et bien soit, elles sont stupides, je ne suis pas un prince charmant. Ce soir, c’est elle, demain ça sera peut-être une autre…J’en sais rien, la vie est pleine de surprises. D’ailleurs, en parlant de surprises, une silhouette approche de nous d’un pas décidé. Rapidement, je reconnais la demoiselle, ce qui me fit sourire en coin, amusé par ce regard qu’elle porte. Dès lors, je sais que ma proie va s’en ramasser plein la gueule. Dois-je intervenir ? Bien sûr que non, je n’en ai absolument rien à foutre de leur histoire, ou encore de la jalousie mal placée de la belle Alexie. Première arrivée, première servie…bien qu’au fond, je sais que la proie du moment n’a aucune chance. Sa voix s’élève et je ne fais que porte mon verre à mes lèvres, les laissant se débrouiller sous les regards amusés de mes amis.

Ils ont l’habitude de ce genre de scène, c’est toujours amusant à voir. Sauf que voilà, la demoiselle, elle décide de squatter mes genoux et je soupire. « Effectivement, t’as un cul plus large que le sien… » Première vanne de la soirée et nullement la dernière, parce que c’est comme ça entre nous. On se vanne, on s’engeule et, souvent, ça fini sous les couvertures pour une bagarre endiablée. La fille, elle abandonne la partie et je ne peux m’empêcher de ricaner. Déjà ? Je la pensais plus coriace que ça, comme quoi, ce n’était aisément pas le cas. Il faut dire que Alexie est une adversaire de taille, heureusement ou malheureusement pour elle, je ne suis pas en reste. Le bras étendu sur la tête du siège, je tourne légèrement la tête vers la jolie brune qui, déjà, fait claquer sa langue de vipère. Simple sourire moqueur qui vient glisser sur mes lippes, mon regard s’illumine de cette flamme d’insolence. « J’aime avoir le choix, tu devrais le savoir Alexie…Puis, je me lasse vite de mes anciens jouets, à la longue, ils pertes de leur intérêt. » Tout en ironie, tout en sournoiserie. C’est comme ça que je fonctionne, que je m’amuse, que je me défends. Elle ne me connait pas plus que ça…Oh bien sûr, elle voit ce que je veux bien lui montrer, comme je suis sûr du fait qu’elle fasse pareil avec moi. Mais ce que je suis, réellement, ça, elle ne le sait pas et sûrement que ça ne l’intéresse pas plus que ça. De toute façon, nous ne sommes pas vraiment amis, ou même proches, j’aime juste l’avoir dans mon lit quand l’occasion se présente pour qu’elle efface mes tourments à sa façon.

« Prends donc un verre Alexie, la jalousie ne te va pas…tu risques d’attraper quelques rides à force. Puis, sois heureuse, elle est partie en courant la pauvre petite…Heureusement, comme tu dis si bien, je l’ai déjà visitée, je ne rate donc pas grand-chose. » Haussant les épaules d’un air complètement neutre, je reporte de nouveau mon verre à mes lèvres, vidant celui-ci en deux gorgées. J’ai la descente facile et je le sais. Puis, comme souvent, je vais finir complètement bourrer et, avec un peu de chance, je finirais dans la press à scandale pour exaspérer mes parents. J’adore ça, les voire me lancer des regards froids, s’acharner à me faire la leçon. Ils n’ont cas payer tout ce mal que je ressens, ce vide qui se creuse en moi un peu plus chaque jour…Ils sont seuls responsables de ma descente aux enfers.

Play with me Esteban

Ta vie, tu la voyait bien autrement, dans les bras d'un seul homme, tu te voyait le câliner et l'embrasser à longueur de journée. L'homme parfait impossible de le trouver tandis que la solitude te suit depuis maintenant plusieurs années. T'aimerais qu'elle quitte ton dos et pourtant elle s'accroche à toi, elle te dépouille de tous sentiments. Tu ne récent plus rien tandis que t'enchaîne les sex-friends, ta vie est un gouffre à emmerde tandis que tu tombe dans un black hole. À croire que ce monde ne te mérite pas, à croire que tu ne mérites pas ce monde. Ta vie est tellement lamentable pourtant tu continues de sourire tu garde la tête-haute. Tout ça ses que du faux, comme des artifices que t'étale sur ton visage. Elle s'acharne sur toi pour que tu la quittes et pourtant tu gardes les pieds sur terre ton visage toujours solitude. Les amies, ils sont faux avec toi qui voudrais apprécier la pire des garces et la première des biatchs. Ta famille, oublier au fond d'un livre, délaisser. Ils t'ont balancé dans un gouffre sans te tenir la main pour t'aider à en sortir. T'était triste au début et puis ta commencer à passer outre à leurs absences, tu te poses pas la question de ce qu'ils sont devenus, de ce qu'ils font, s'ils sont toujours en vie ou bien morts. Ça t'apporte peu de savoir ses quelques informations sur eux, tu'à d'autre chose à penser que ce qu'il peut leur arriver. Tu penses a des choses plus importantes eux tu as écrit The End sur la plupart de leurs photos. Ils t'ont délaissé alors ses les fins, tes plus leurs filles tes parents n'existe pas et pourtant tu tentes de les imaginer. Tu parles jamais d'eux t'en voie pas l'intérêt, ils le savent tous personne ne te parler d'eux, déjà parce que tu commencerais à les insulter, puis a t'énerver sur eux.

Ta l'impression d'être un livre qui n'est pas finie, un livre qui n'est pas abouti qui a été jeter au fond d'un placard par un auteur. Un livre oublié que personne n'a envie d'ouvrir pour lire ses quelques pages, ses quelques gouttes d'encre tomber sur ses quelques bouts de feuille blanche, jauni par l'ancienneté. Tu te jettes toutes les insultes du monde à la gueule comme si tu es coupable de ce qui t'arrive, mais non, c'est de leurs fautes tu as toujours suivi tes rêves quoique tu tu es égaré sur un chemin de terre salissent tes bottes t'empêchent d'avancer vers un avenir plus somptueux. Tes coupables de rien, tu les hais, personne ne t'a relevé la tête dans les moments où tu en avais besoin alors que toi, ta toujours était là pour eux, tes amies. À chaque fois qui baisser les yeux tu remonter leurs mentons pour qu'il gardes la tête-haute. Tes peux être une connasse mais en amitié tes comme un diamant entourer de merdes. Tu te donnes à fond pour leurs faire garder le sourire mais eux, il t'ignore. Tes comme une boutique de mode, tes pas du luxe, tu les intéresses pas. Tu tentes de te rassurer en estompent la vérité, mais t'y arrive pas. Tu cherches une once de sincérité dans leurs paroles, dans leurs regards, dans leurs gestes tous est faux et calculer. Tes pas comme ça, tes sans filtre, la grande gueule. Tu dis ce que tu penses tes pas du genre à passer par 4 chemins, même avec lui, ta beau l'aimé dans le lit celui que t'appelle ton prince, il s'en prend pleins la tronche à longueur de journée.

L'amitié ses pas un jeu, ses comme le sexe. Est ta l'impression que te prend h24 pour une bouffonne. t'a l'impression qu'il veut plus alors qu'il ait déjà atteint le sommet. C'est le genre de mec à vouloir le beurre, l'argent du beurre et la laitière, la boulangère et la vendeuse dans le super-marché. Il veux tous, tu t'pose la question si il est pas accro au sexe. Ta l'impression que son coeur est un bloc de pierre que personne ne peux atteindre, même pas a toi alors que t'égale la perfection. Ta l'impression d'être Cendrillon qui a perdu sa chaussure de verre devant-lui, et il cherche à trouver à qui elles appartient, alors il prend l'excuse de toutes les tester dans un lit. Ta l'impression que les rôles sont inversés, tu as l'impression d'être la poupée qui manipule alors qu'il y a quelques semaines c'était toi qui tenais les ficelles de la partie. T'aimerais au moins attendre des mots doux sortir de ça bouche a ton sujet mais rien, il garde tous pour lui a croire que tes juste une ombre qui tente d'effacer en te jettent dans la lumière de la honte. Tes pas du genre a te sentir toucher par ce qu'il fait ou même humiliée, mais au fond de ton coeur de diamant ce cache une petite fille fragile qui tente de ce reconstruire sentimentalement parlent. Des sentiments pour lui t'aurais pu en avoir, et pourtant t'arrive pas a l'aimer a l'accepter dans son vie. Ses qu'un gamin pour toi, une stupide imbécile qui tente d'être dans la lumière alors qu'il n'est que l'ombre de ça fortune familiale.

Tes pas du genre a te prendre la tête pour rien surtout avec lui, ta d'autre chose a faire que tu faire comprendre la raison de ton énervement a un pauvre imbécile qui croie toujours avoir raison, connard se mot qui s'entrechoque dans ta petite tête il résonne comme la vérité, c'est ce que tu pense de lui, t'ose pas lui dire il risque de ce fixer, surtout que tu manque de tacts tu risque facilement de le faire pleurer. « J’aime avoir le choix, tu devrais le savoir Alexie…Puis, je me lasse vite de mes anciens jouets, à la longue, ils pertes de leur intérêt. » Première pique lancée par ce connard, tes pas du genre à te laisser faire, une humiliation pour toi que tu cache par un sourire narquois tu sais comment répliquer et le remettre à sa place. « Arrête de croire que tes le seule jouet a squatter mon lit pour jouer au robot, tes pas très dégourdie a ce niveau-là et pas très endurent non plus. » Tu le fixe ton regard est froid tandis que ta langue vient claquer contre ton palet tu viens caresser tes lèvres avec ton index avant d'enchaîner. « Tu sais très bien que j'ai plus rien a te prouver, j'suis loin d'être ton jouet par contre, de ton côté, il serait beaucoup plus ferme de prouver que ce qui est réchauffé entre tes jambes n'est pas très dérangeant au dépourvu de sa taille. » T'attaque ça plus grande fierté, son engin et pourtant il n'y a pas d'quoi faire crier une jouvencelle, tu ment et tu le sait mais tu sait que t'attaque la ou ça fait mal, ou pas. Tes pas du genre a être sympathique avec lui t'aime bien l'attaquer ça richesse ne fait pas de lui un mec inatteignable. « Prends donc un verre Alexie, la jalousie ne te va pas…tu risques d’attraper quelques rides à force. Puis, sois heureuse, elle est partie en courant la pauvre petite…Heureusement, comme tu dis si bien, je l’ai déjà visitée, je ne rate donc pas grand-chose. » Il joue au jeu de la provocation, il a déjà visité et apparemment  il a l'air de regretter ce moment, c'est sûr que quand on est passer par toi on trouve rarement mieux. « Tu devrait arrêter de te la péter deux minutes chéri. Ta seule réussite c'est de m'avoir eu dans ton lit et encore, tes qu'un cadeau de noël je t'oublierais dans quelques mois sauf que moi t'aura du mal a me mettre de côté. La preuve qui m'a envoyer un message pour que je le rejoigne ? Mh, toi a croire que tu ne peux plus te passer de moi. » Tu le sais qu'il est accro à toi. Tes comme la bouteille d'alcool pour un alcool, de la cocaïne pour un drogué. Tu viens prendre un verre que tu commences à boire en quelques en secondes. Il t'a chauffé en deux secondes ça vas être compliqué pour toi de redescendre. Ne t'aime pas qu'il parle des autres, ton envie qu'il ne voie que toi, qu'il ne parle que de toi. Habituellement tu lui aurais balancer l'intégralité de ton verre dans ça tronche mais t'aime pas gaspiller surtout un aussi bon alcool. Tes venues pour t'assumer, a croire qu'il ta juste inviter pour te faire chier. Il veux jouer au jeux de l'élève et du professeur, dommage pour lui tes plus expérimenté a ce niveau-là.

Play with me Alexie

Je ne devrais pas être là, c’est certain. Encore une fois, je tente de fuir ce qu’il y a chez moi, ou encore, ceux qui partagent ma chambre. Entre Alessio et Eldon, la colocation n’est pas aisée, surtout que les murs sont fins, bien trop fins. Alors oui, quand ce n’est pas un qui ramène une conquête et bien c’est l’autre, ou encore c’est moi. A croire que nos chambres sont faites pour ça, coucher avec des demoiselles – ou messieurs pour mon meilleur ami – et que dormir est une option. Moi, j’ai juste besoin de ça pour oublier…pour enterrer ce sentiment d’abandon, d’être qui n’a pas été assez aimé durant toute sa vie. Parce qu’il est là le souci également, ce grand manque d’affection qui a fait de moi l’homme que je suis à l’heure actuelle. Oh, certes, je n’ai pas été battu ou autre, je n’ai pas été abusé sexuellement ou même ouvertement rejeté, mais l’abandon sentimental n’est-il pas aussi douloureux ? A une époque, j’étais juste un gosse qui voulait l’attention de ses parents, qui aurait aurait dépensé des fortunes pour que sa mère le regarde, pour que son père lui offre un sourire sincère. Oui, à l’époque j’avais été ce gosse, mais rapidement, j’ai fait comme tout le reste, je l’ai enterré vivant. Parfois, je l’entends encore chialer ce gamin, gratter les barreaux de sa cage pour tenter de s’en échapper. Mais les barreaux sont devenus solides avec les années, bien trop solide. A force, je pense qu’il va se lasser et que je vais enfin vivre en paix, ou encore, cela provoquera-t-il ma perte, ma dégringolade finale. Putain j’en sais rien, je suis pas devin, mais ce genre de chose ça se termine toujours mal. Comme une amitié entre mec et fille, ça existe pas, c’est malsain et ça fini toujours pas éveiller des conneries de sentiments.

Mais pour l’heure, ce n’est pas à ça que je dois penser, et ce, même si mes tourments font partie de moi. Pour l’heure, je dois me focaliser sur cette brunette aux grands sabots qui rapplique, qui va encore chercher misère et qui, une fois de plus, va finir par m’agacer. Pourquoi on doit toujours en venir à ce moment précis ? Bonne question…Peut-être parce que sans ça, la chose est moins amusante, moins pimentée. Peut-être que sans ça, Alexie ne m’aurait déjà plus intéressée et serait passée à la trappe comme toutes les autres, suivant la file des filles avec qui j’ai couché. A la place, elle s’impose, telle la reine de sabbat et ça me donne envie de l’étrangler autant que la tirer vers mon pieu. Douce contradiction quand on y pense, mais au final, ça n’a rien d’étonnant. Elle est un peu la cerise sur le gâteau, quand j’ai besoin de me défouler, de cracher mon venin, je sais qu’elle sera la seule à pouvoir encaisser les coups sans chialer et me rendre l’appareil. « Arrête de croire que tes le seule jouet a squatter mon lit pour jouer au robot, tes pas très dégourdie a ce niveau-là et pas très endurent non plus. » Je souris en coin face à cette riposte qui ne me touche pas spécialement. Je sais ce que je vaux, je sais le temps que ça dure et nos corps en sueurs prouvent bien qu’elle se la joue petite. Elle pense être dans la cour des grands alors que là, elle joue clairement à la maternelle. « Tu veux un sceau et une pelle chérie ? Tu peux mieux faire. » Dis-je un petit sourire ironique sur le coin des lèvres, arrogant.

« Tu sais très bien que j'ai plus rien a te prouver, j'suis loin d'être ton jouet par contre, de ton côté, il serait beaucoup plus ferme de prouver que ce qui est réchauffé entre tes jambes n'est pas très dérangeant au dépourvu de sa taille. » Je pourrais tiquer, clairement, mais je cache tout comme un vrai gentleman. Elle attaque là où ça fait mal, malheureusement pour elle, je peux également m’amuser de cette façon. Elle n’a encore rien vu et ça, elle semble l’oublier. Elle est une peste, certes, mais je ne suis pas en reste et ça, elle va rapidement se le mettre en tête. « Tu devrait arrêter de te la péter deux minutes chéri. Ta seule réussite c'est de m'avoir eu dans ton lit et encore, tes qu'un cadeau de noël je t'oublierais dans quelques mois sauf que moi t'aura du mal a me mettre de côté. La preuve qui m'a envoyer un message pour que je le rejoigne ? Mh, toi a croire que tu ne peux plus te passer de moi. » Soupire qui traverse mes lèvres, comme si elle m’ennuyait, comme si elle m’exaspérait. La pire des choses avec des filles de la sorte, c’est clairement d’être ignorée, relayée au second rôle. La preuve en est, elle tente de passer au-dessus des autres, de les surplomber de ses hauts talons. « Tu me ressors la même rengaine à chaque fois, je pensais que tu avais un peu plus de ressources quand même, comme quoi, je me trompe. Une belle gueule mais rien à l’intérieur, comme c’est dommage. » Doucement, je me penche vers l’avant pour me servir un verre, lui en servant un également qu’elle boira ou non, je m’en fou, j’ai une certaine éducation l’air de rien qui me colle à la peau.

M’appuyant de nouveau confortablement dans la banquette, je bois une gorgée très lentement. Je prends mon temps oui, je prends mon temps avant de dégainer et de la trainer dans la boue, parce que c’est exactement ça que je vais faire… « Dis-moi, pourquoi es-tu ici ? Parce que je t’ai envoyé un sms, en bon petit jouet que tu es et bien, tu as répondu à l’appel ? Tu sais, ma chienne fait pareil, quand je siffle elle vient réclamer son dû…Mh, certes, tu es moins poilue qu’elle, mais l’image reste la même. » Passant une main dans mes cheveux, je redépose mon verre sur la table, continuant toujours avec un calme à toute épreuve. « Pour ce qui est de ce que je possède entre les jambes, disons que c’est comparable à la planche que tu peux être…C’est tellement déplorable de gâcher un si joli corps avec un manque certain d’endurance de ta part. Mais promis Alexie, je ne le répéterais pas, je suis gentil, je te mets un cinq sur dix. Tu n’es certes pas l’un de mes meilleurs jouets, mais bon, tu te défends. » Je la relaie à la seconde place, pire encore, à la troisième, la quatrième. Elle sait se servir de sa langue, je sais faire de même. Cette rencontre va mal tourner, je le sens. Repositionnant ma veste convenablement, je me redresse, un doux sourire sur les lèvres. « Oh mon ange, ne fait pas cette tête, tu es bien plus belle quand tu souris…même si il te faut mille ans pour cacher tout…ben tout ça. » Dis-je en montrant son visage avec mon indexe, lui offrant un petit clin d’œil alors que je la contourne pour la laisser en plan, sourire vicieux venant de nouveau m’emparer de mes lippes. Je l’abandonne, comme une merde, parce que je sais que si je ne m’éloigne pas, ça va finir par des verres qui volent et ça, je préfère éviter.