pride and prejudice — chic et agréable odeur d'une assommante et douce réception. Champagne, homme de pouvoir et money time, bienvenue chez les riches pouvait-on entendre sur le trottoir d'à côté où les regards des plus envieux, ceux pour qui un travail est synonyme de dur labeur, se prosterne devant cette armée de richissimes familles se pavanant en costume tout en gagnant de l'argent busness is busness comme disent les plus vicieux. Par leur comportement, ce bas peuple nous fait l'honneur de pouvoir briller un peu plus. coco, l’œuvre final de cette exposition, du moins c'est ce qu'elle compte être avant la fin des festivités, s'affiche vêtue d'un rien, d'un bout de tissu que les petites mains derrière ces messieurs prada en personne ont conçu, d'un olympien navy blue, longue robe dont l'ouverture jusqu'en haut de la cuisse rend sa tenue aussi élégante que sexy. Cette robe, elle colle à sa peau, nous permettant d'admirer les moindres détails de sa plantureuse silhouette, tenue provocatrice, légèrement transparente, parfait pour en émoustiller plus d'un. Coupe de champagne en main, coupe de champagne dont ses lèvres ne toucheront jamais le breuvage, la qualité de ce dernier n'ayant pas assez de pedigree pour convenir à la reine du soir. Accompagné de son plus fidèle, sa pochette yves saint laurent, elle déambule, à la recherche d'une inspiration, d'une émotion capable de transpercer sa poitrine, d'une piqûre d'adrénaline pour lui faire oublier ce qu'elle peine à cacher.
Pour remédier à une solitude très inhabituelle dans ce genre de réception, coco admire, elle porte un regard critique sur les œuvres présente ce soir-là, mais c'est un exercice compliqué quand comme coco, on n'a jamais réellement apprécié l'art, l'art est pour elle un martyr, une chose n'ayant aucune valeur sur la vie d'un homme, elle ne peut comprendre comment on peu ressentir une passion en regardant une d'œuvre, avoir un choc émotionnel en restant planter de marbre face à un tableau dont le concepteur y a simplement fait trois tâches de peinture, aussi artistique et inventeur qu'un enfant de quatre ans. coco, elle se sent un peu perdue dans tout ça. « Coco, mais quel plaisir de te voir là. Je ne te pensais pas amatrice d'art. » Sa voix résonne, elle fait mal au crâne, elle invite coco à se tourner vers sa chère interlocutrice, carmen calabrese, sa plus tendre et chère ennemie, pour une mauvaise surprise.. « carmen, quel plaisir oui.. et bien, il y a une tonne de chose que tu ne sais pas sur moi, calabrese. » quel déplaisir, coincé, coincé au milieu d'une réception et calabrese, signe d'une fin de soirée laborieuse pour une buschfeld qui s'en serait bien passé.
Pride & Prejudice #Coco
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